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🤔 FITracking est-il vraiment indispensable si tu connais déjà « par cœur » tes exos ?

Dossier spécial pour les réfractaires : preuves, objections, pour/contre, scénarios concrets et mode d’emploi minimaliste.

Dossier FiTracking — Suivi intelligent vs entraînement au feeling

Tu as des années d’expérience, tu sens tes muscles, tu connais tes charges et tu progresses « au feeling ». Parfait. Ce dossier n’est pas là pour te convertir par la force, mais pour mettre les faits sur la table : quand un suivi intelligent accélère réellement tes résultats, quand il est superflu… et ce que FITracking apporte en plus de ton expertise.

📚1) Les faits (preuves à l’appui)

🧱2) « Je n’ai pas besoin d’app, je sens mes entraînements. »

Objection 1 — « Le feeling suffit. »

Le feeling est précieux… jusqu’au biais de mémoire. Tu crois stagner « depuis 2 semaines » alors que ça fait 6 ; tu penses avoir pris +5 kg mensuels alors que la courbe montre +2,5. Les données tranchent. (Surcharge progressive & constance.)

Objection 2 — « Noter me casse le flow. »

FITracking est pensé anti-friction : ajout ultra-rapide (tap unique), templates d’exos, duplication, auto-calculs (RPE, totaux, densité). Le flow reste au centre ; la saisie, en périphérie.

Objection 3 — « Ça n’évite pas les blessures. »

Le profil de charge (ton « chronomètre de charge ») lisse pics/creux — facteur majeur de blessure. Tu continues à pousser, mais avec garde-fous visibles. (BJSM)

Objection 4 — « J’ai déjà de bons résultats. »

Parfait. L’outil ne remplace pas ton expertise ; il l’amplifie. L’auto-régulation mesurée (RPE, reps-in-reserve) rend un bon programme chirurgical. (PMC)

Objection 5 — « C’est chronophage. »

< 30 secondes par séance avec de bons presets. Le ROI se fait sur des mois/années : progression, prévention, constance.

🧭3) Quand une app est (presque) indispensable

⚖️4) Le pour / contre — sans langue de bois

Le POUR

Le CONTRE

🛠️5) Pourquoi FITracking spécifiquement (et pas « une app de plus ») ?

🎯6) Scénarios concrets où FITracking te fait gagner du temps (et du muscle)

Tu plafonnes au développé couché « au feeling »

L’app révèle une baisse de densité (volume/durée) les jours lourds. Tu scindes 2×/semaine : 1 jour lourd + 1 jour rep-progression. Résultat attendu : +2–3 reps en 4–6 semaines, mesurées (pas « ressenties »). (PubMed)

Tu alternes ON/OFF et perds le fil

Vue récap : reprise à −10–15 % sous le dernier bloc, remontée linéaire → moins de pics de charge (donc moins de risque). (BJSM)

Tu veux passer à l’auto-régulation sans capteur

Note RPE & RIR ; l’algorithme propose des plages réalistes pour la séance suivante. (Auto-régulation > charges fixes — PMC)

🧾7) Mode d’emploi minimaliste (pour réfractaires pressés)

🎯 Cible simple

Objectif : +0,5–1 %/sem. sur 1–2 mouvements phares. Le reste suit.

8) Verdict

Sans suivi, tu peux progresser — surtout avec de la bouteille. Avec un suivi simple et fiable, tu progresses plus vite, tu exploites mieux les phases lourdes, tu reviens plus propre après les pauses, et tu réduis les « coups de chaud » au mauvais moment. FITracking ne remplace pas ton expérience ; il la rend mesurable, transmissible et cumulable.

🚀9) Passe à l’action

Si tu ne vois aucun bénéfice concret en 4–6 semaines (constance, charge, reps, douleur)… désinstalle. Mais joue le jeu des données : tu risques d’être surpris.

Sources clés (sélection)

  • Self-monitoring & adhésion : revues systématiques et meta-analyses (PMC)
  • Surcharge progressive & hypertrophie/force : essais & revues (PubMed)
  • Auto-régulation vs charges fixes : travaux comparatifs (PMC)
  • Abandon en salle & constance : cohortes & synthèses (PMC)
  • Charge & blessures (paradoxe) : recommandations & analyses (BJSM)
  • Habitudes & objectifs SMART : recherches UCL, articles académiques (UCL, PubMed, PMC)

Note : pour alléger la lecture, les références sont regroupées par familles (PMC, PubMed, BJSM, UCL). Ajoute tes URLs précises si tu veux citer des études spécifiques.